Le Défi de 2CV Alaska
Bulletin No.2 - Pour naviguer les sept mers. Système mv Christiane, approximativement. 500 miles de du sud à l'ouest de l'Irlande... There’d étés des impatients peu de moments comme voitures ont été levés du quai dessus au bateau. Citro ? regard 2CV’s très différent quand they’re balançant 50ft vers le haut dans le ciel : exposé, vulnérable, très indigne d' une dame... Notre dame, le système mv Christiane, croisait l'Océan atlantique avec une prise vide et ainsi capitaine Mihovic avait décidé de placer le 2CV’s là. Nous avons regardé les deux voitures de jouet dans la prise et puis le Jos?nd géants I dit nos goodbyes. We’d a appris que le port de Christiane’s premier de l'appel était New York, ainsi Jos?ould puisse joindre le bateau là pour la dernière jambe du voyage vers le bas à la savane. J'ai figuré que la prise vide devrait juste au sujet d'de l'être assez grande pour prendre les achats Jos?ould reprennent à New York... Les cargos sont les bêtes imprévisibles, et le Christiane n'était aucune exception. Elle a été censée naviguer vendredi le 2 juillet mais à la place s'est déplacée en rond à une autre partie de Rotterdam pour charger plus de cargaison. I trouvé regardant fixement une pile énorme de métal de chute en dehors de ma fenêtre de carlingue, se demandant si évasion d'I’d jamais les confins de Rotterdam. Les croates servent d' équipier ont eu un air démissionné semblable au sujet d'eux. Cependant, le jour suivant, samedi, une vague de l'espérance a fonctionné par le bateau, et, après la minute passée à -ing et fro-ing par les douaniers et la ligne maritime fonctionnaires, nous avons finalement navigué pour la mer ouverte à 7 P.M. avec un appel sur le klaxon du bateau... De tous les départs I’ve a éprouvé, dans les ports, les gares, et les aéroports, celui-ci ont semblé les plus intenses, peut-être parce que c'était un processus si dessiné-dehors. Rotterdam’s un port et lui énormes peut prendre des heures au vent par ses voies d'eau à la mer ouverte. Le Christiane est un grand bateau et comme elle a fait sa manière le long du fleuve Maas, deux grandes vagues ont agi en tant qu'escorte, emballant le long de chaque banque, branches se cassantes et terre menteuse du bas d'inondation. Indépendamment de ceci, le Christiane a progressé vers le haut du canal étroit, ses moteurs fighting.against le courant fort, son entonnoir éjectant la vapeur qui a condensé et a formé des arcs-en-ciel dans son sillage... Ce départ idyllique a continué jusque à 10 P.M., quand nous avons atteint le coeur industriel laid du port de Rotterdam et les choses ont tourné aigre : Le Christiane avait développé des problèmes de moteur et a dû être aidé par deux tractions subites dans un dock. Nous avons passé la nuit là entre une usine d'incinération de déchets et les piles inévitables du métal de chute... Le Christiane a fait une 2ème tentative de partir
au déjeuner le jour suivant, dimanche le 4 juillet, cette fois avec
plus de succès. Chez un short tandis que Rotterdam et le Hoek
de la Hollande avaient receeded dans la distance et nous étaient
dehors sur la Manche, bousculant pour la position parmi une masse de
d'autres bateaux. À la fin du 2ème jour en mer nous avons
laissé la Manche et nous dirigeons dehors dans l'Océan Atlantique.
La mer était calme, le survivre à était bonne. Je me
suis tenu sur la plate-forme et ai regardé fixement autour :
aucune terre, aucun autre ne se transporte, aucun rien excepté
l'océan profond de gonflement. Groupe d'octets. J'ai
éprouvé une inquiétude terrible quand je me suis rendu compte que
je serais sur cet océan pendant dix jours, sur ce bateau, sans
l'évasion, dans les mains du destin et de son domestique, la mer
cruelle. Cette attaque d'inquiétude était durent pendant deux
longues journées. En attendant, le Christiane a labouré dessus
à travers l'Océan atlantique, accompagné des dauphins de bébé qui
ont joué dans son wake…… ;.
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